Dol Amroth

J'étais dans la ville, marchant avec mon bâton de mage. Cette ville était plus étendue que Minas Tirith mais pas plus grande quelle. Ses ramparts blanc comme la neige en hiver se tenait debout, prêt à protéger la ville. Elle domminait par son port et par la baie de Belfalas. Plusieurs bâteaux à voile naviguaient sur le fleuve, celui de l'Anduin, grand fleuve qui traversait Osgiliath, la ville-ruine du Gondor. Je marchais dans les rues, cherchant tant possible la place du marché et par curieux hasard, je vis Aragorn.

- Même un si long voyage vous mènes ici, Aragorn, fils d'Arathorn. Que faites-vous ici ? N'êtes-vous point à Minas Tirith ou à Édoras ?

Aragorn était de dos à Gandalf lorsque ce dernier lui adressa la parole. Il se retourna, puis inclina la tête ne signe de respect, avant de lui répondre, s'approchant de lui, évitant la foule qui déambulait:

- Ravi de vous voir ici, Gandalf.

Il sourit à sa remarque et à sa questions, puis il lui répondit:

- A vrai dire je passais juste récupérer quelques affaires, et si possible trouver des forces pour ...

Il baissa la voix, et reprit, plus bas:

- ... la guerre qui se prépare.

Je continuais de regarder Aragorn et un bref silence s'installant. Je regardais de tout les côtés pour voir si personne écoutait et je repris parole.

- Je l'ai sentie, il semble s'approcher de plus en plus, cherchant son objet et prenant plusieurs territoirs en main. Je ne sais pas quelle est son but à nous avoir, même si au-delà de sa tour, cherchant le moindre détails qui brille, mais ça annonçe mal. J'espère que les troupes seront prêtes avant qu'il ne soit tard. Au faite, que cherchiez-vous comme affaires ? Peut-être vous aidrais-je en votre recherche.

Aragorn observait le magicien Blanc avec attention, et lorsque ce dernier lui parla de cette guerre, l'attention d'Aragorn redoubla. Ce dernier répondit, en faisant allusion à sa proposition, en levant un arc, un carquois et une chemise:

- J'ai déjà tout récupéré, et je m'apprêtait à repartir vers les écuries.

Ainsi Aragorn avait tout ce qui lui fallait. J'observais l'équipement qu'il avait et resta là à ne rien dire, pendant quelques secondes.

- Et bien, vous êtes rapide. Alors, vous repartez vers où ainsi avec ces équipements-ci ? Sachez que je vais rester ici pendants quelques jours et après je verrais si j'irai à Minas Tirith.

Aragorn eut un sourire malgré la gravité de la situation. Gandalf lui dit alors qu'il se rendrait certainement à Minas Tirith et Aragorn jugea bon de ne rien répondre Il reprit:

- Je pense atteindre Fondcombe ensuite. Maitre Elrond organise un conseil pour décider du sort de l'Unique. J'ai été invité, ainsi que vous l'êtes, et que tous les représentants de chaque race le sont.

- Pour ça, Elrond me l'avait déjà dit. Enfin, après cette captivité dans la tour de Saroumane, on peut dire que je peux prendre un peu d'air avant une autre aventure. Bref... Saroumane a réussis à prendre les armes offerts par Sauron.

Un moment de silence passère, sans qu'une seul parole soit dite des deux hommes.

Aragorn resta en stand by. Quoi? Sauron serait maintenant du côté de Saroumane? De plus, d'après ce que Gandalf en disait, il l'avait fait prisonnier! Aragorn fronça les sourcils. La guerre serait difficile avec un adversaire tel que Saroumane de l'autre côté. Aragorn invita Gandalf à marcher, et il lui proposa:

- Expliquez-moi tout Gandalf.

Nous marchions un bref moment. Quand Aragorn se mit à parler, alors je répondis.

- Tant un blasphème qu'il pourrait faire, cela lui dérangera point. J'ai entrepris un voyage vers l'Isengard, nommé aussi Orthanc, pour parler avec Saroumane au sujet de ces temps-ci. Mais alors que nous étions dehors, par les temps où ses arbres ne cessèrent d'être récoltés par leurs nombreux fruits, il se mit à me parler des boules de Palantíri, une sphère constituée d'une matière de cristal ou de verre, très proche de ces matérieaux. D'après que je sache, ce fut les Noldors en Eldamar, sous l'idée de Fëanor. Ces sphères-là étaient utilisées sûrtout pour une surveillance ou une communiquation en rêve ou en vision à travère le temps en Gondor et en Arnor. La chute de Nùmenor permit à Elendil de s'en procurer et ainsi d'en distrubuer, dont ses hommes appellaient "pierre de vision". Beaucoup d'endroits en Terre du Milieu fut mise sous la pierre de vision : Annuminas, Amon Sûl, Les collines des Tours, Osgiliath, Orthanc, Minas Ithil et Minas Tirith. Peu à peu, ces pierres furent perdues jusqu’à ce qu’il ne reste aux hommes que celle de Minas Tirith qui est contrôlée par Dénethor l’intendant du trône et notre ami Saroumane. En ce moment-ci, je pense qui ne reste que Minas Tirith et Orthanc, surnommé Isengard. J'espère point que Dénethor n'a pas jouer avec sa pierre, car nombreux risques pourraient l'attendre. Au total, sept palantìr existaient, mais deux n'y restent qu'en activité.

Gandalf prit un silence, regardant les gens qui passèrent dans les rues de la cité.

- Alors que nous fûmes en dedans de la tour, Saroumane se mit à parler de Sauron et de l'Anneau Unique et parlant d'un pouvoir nouveau... (Expliquation des évènements passé entre Gandalf et Saroumane)

" - Saroumane, dis-je, j'ai déjà entendus des discours de ce genre, mais seulement dans la bouche d'émissaires envoyés de Mordor pour tromper les ignorants par de faux dîtes. Je ne puis croire que vous m'ayez fait venir de loin à une seule fin de fatigue pour mes oreilles !

"Alors il me jeta un regard de côté et observa sous un moment de réflexion : "

" - Et pourquoi pas Gandalf ? mumura-t-il. Pourquoi pas ? L'Anneau Souverain ? Si nous pouvions en disposer, le Pouvoir nous passerait, à nous. Voilà en vérité je vous ai faite venir en ces lieux. Car j'ai beaucoup d'yeux à mon service, et vous savez où se trouve ce précieux objet. Me trompe-je point ? Ou pourquoi les Neuf s'enquièrent-ils de la Comté et qu'ont-ils à y faire ?

" Tandis qu'il parlait ainsi, il ne put s'empêcher d'un regard de concupiscence à m'envoyer. "

- Saroumane, dis-je en m'écartant de lui, seule une main à la fois peut avoir à se disposer l'Anneau, et vous le savez très bien ; ne vous donnez donc la peine de dire "nous" ! Mais je ne vous le donnerais certes pas. Vous étiez le chef du Conseil, mais maintenant un nouveau visage vous transformes. Soumission à Sauron ou à vous-même ? Aucuns des d'eux je ne prendrais. D'autres solutions à me proposer ?

" - Oui, dit-il sous un ton menaçant et froid. Je m'attendais pas que vous fissiez preuve de sagesse, fût-ce à votre propre avantage ; mais je vous donnais la chance de m'aider de plein gré et de vous éviter ainsi beaucoup d'ennuis et de souffrance. La troisième solution est de demeurer ici jusqu'à cette fin.

" - Jusqu'à quelle fin voulez-vous dire Saroumane ?

" - Jusqu'à vous me révéliez le lieu et l'endroit où reposse l'Anneau Unique. Je ne puis m'imaginer des moyens de persuasion. Ou bien jusqu'à ce qu'il soit découvert.

" - Frodon...

" Il fermit toute les portes que je me dirigeais pour sortir et avec son bâton, il me fit tomber. Je me releva."

" - C'est le chef de mon ordre et il est à la tête du Conseil. Son savoir est profond, mais son orgueil a crû parallèlement et il prend ombrage de toute ingérence. La tradition des Anneaux elfiques, grands et petits, est son domaine.

" Que ne fut sa réaction de me jeter parterre. Nous déclachions une bataille qui ne dura que de 15 minutes, si longs qu'elles fuent. Alors il attira mon bâton et je fus jeté à terre. Je fus sous lévitation, ne cessa de me faire tourner sous ses paroles-ci."

" - Malgré vous et que le Souverain ait eu le temps de penser à des affaires plus légères : comme, par exemple, d'imaginer une récompense appropriée pour les entraves et l'insolence de Gandalf le Gris dans MA TOUR !

"Ainsi il m'élança au bout de sa cime d'Orthanc, à l'endroit où ses yeux observaient les étoiles du haut de sa tour sombre. Deux mois suffie que j'y reste, sans nourriture et sans eau, regardant le changement des arbres en laves de volcan et de l'herbe par la terre importée de Mordor. L'Orque apparût aux services du sage-fou, une digne récompence de Sauron. Dès que Saroumane réapparût, il reparla encore. Mais je fus sauvé à temps par Radagast qui m'envoya Gwaihir, au déclin de l'été par une nuit de lune. Les loups qu'envoya Saroumane était belle et bien trop loin. L'air me porta à Edoras, d'où siège le seigneurs des cheveaux."

Le silence d'une longue pause s'installa dans sa gorge.

Aragorn était sidéré par tous ces évènements. Au fur et à mesure que Gandalf parlait, il hochait parfois la tête, acquiesçant par instant, faisant quelques commentaires à d'autres. C'était impensable que quelqu'un comme Saroumane, aussi sage soit-il, ait été possédé par le pouvoir démesurant de l'Anneau au point de vouloir s'en emparer et même de trahir tout le monde.

Qu'allaient-ils faire à présent? C'était un allié précieux qu'ils venaient de perdre dans la bataille, et Aragorn en prenait conscience petit à petit. Il reporta son attention sur Gandalf qui était resté silencieux un bon bout de temps:

- Saroumane a donc décidé de se rallier du côté de Sauron. C'est une bien mauvaise nouvelle que vous m'apportez-là, Gandalf.

- Oui, mais pour cela, il ne s'en remettra pas dû tout, même après une victoire si possible de l'éteinte de l'Anneau Unique. Je ne sais pas que présentera l'avenir des mois à suivres ou années, car après 7 ans d'études en un endroit que je ne saurais vous dire, pour l'Anneau Unique dont les textes les plus ancients en révelle la description totale. J'en parlerais au conseil à ce récit-là, donc les plus mystèrieux en voudrais le savoir vif d'une Anneau dont quelle regorge nombreux pouvoirs obscures que les autres. Pour l'instant, nous devons nous dirigers vers Fondcombe le plus possiblement pour y assister. Mon sort est choisit, ma route sera la Maison d'Elrond et ainsi au sort de l'Anneau. Je vous y accompagne à cheveau ou à l'aigle ? Vous diriez que l'aigle est un choix de sagesse en preuve, mais en soit-même, je choisirais le cheval, preuve de vitesse comme Griepoil.

J'acquissais un sourir à Aragorn tout en riant de bonheur de le revoir depuis longues années.

Aragorn sourit franchement lorsque Gandalf parlait. Il était inquiet par le choix de sa monture pour se rendre à Fondcombe! Ha! ^^ Si Aragorn n'avait que ça comme problème cela lui simplifierait bien la vie! Il eut un grand sourire, avant de poser une main ferme sur l'épaule de Gandalf et de lui serrer affectueusement. Il lui dit:

- Vous n'avez pas changé d'un pouce Gandalf.

- Vous non plus, Aragorn. Depuis notre dernière renconte, je vois que vous n'avez changer aucune de vos talents de rôdeur.

Le temps semblait sombrire sous des nuages d'averses de puie. Le soleil fut caché à travère les gros nuages gris-noirs, un temps de pluie au rendez-vous.

Aragorn inclina légèrement la tête en souriant. Il leva ensuite le regard vers le ciel qui s'était assombri d'un seul coup. Aragorn fronça les sourcils et se tourna vers Gandalf se demandant si tout ceci était l'œuvre d'un certain magicien Saroumane ...

- On dirait belle et bien un coup de Saroumane, vous n'y trouvez pas, Aragorn ? dis-je en riant.

Je lui souriait sous mon rire heureux de bonheur sous cette pluie qui commençait que peu d'instant. À quoi bon que Saroumane ait eu l'action et la preuve de sagesse d'en pouvoir s'y soumettre sous l'enfer de Sauron ?

Aragorn laissa échapper un petit rire en se tournant vers Gandalf. Décidément, il le surprendrais toujours.

- On dirait bien.

[Pas grave, moi j'en ai beaucoup Wink

. En ce moment, je suis comme toi lol ! ]

- Hum... Eh bien nous devrions rentrer au plus vite à l'intérieur. Demain ou dans un autre jour de cette semaine-ci, nous partirons pour Fondcombe.

Dis-je en marchant.

Aragorn hocha lentement la tête. Il emmena Gandalf à travers un dédale de rues sinueuses, puis ils entrèrent dans une taverne accueillante. Aragorn observait les lieux.